Format : Grasset
Auteur(s) : Frédéric Beigbeder
Editeur : Editions Grasset
Langue : Français
Parution : 01/05/2001
Nombre de pages : 281
Dimensions : 20 x 13 x 2.2
99 francs (parfois typographié 99 F) est un roman à succès provocateur d’inspiration autobiographique de Frédéric Beigbeder, publié en 2000, qui dénonce les dérapages cyniques du monde de la publicité dans la société occidentale de consommation. Il a valu notamment à son auteur d’être renvoyé de son entreprise (Young & Rubicam), pour faute grave. Le roman a également été réédité avec les sous-titres 14,99 euro (ou 14,99 €) ou 5,90 euros (ou 5,90 €). Ce roman a été découpé en six chapitres dont chaque partie est nommée par un pronom personnel, en lien avec Octave, le protagoniste. Ainsi, dans le chapitre premier, « Je », l’auteur s’exprime à la première personne. Dans le chapitre « Tu », il s’exprime à la deuxième personne, comme une vue de l’extérieur de sa propre vie, et ainsi de suite jusqu’au pronom personnel « Ils ». Ce livre se termine par une pléiade de slogans publicitaires, ceux-ci se finissant par le cynique « Bienvenue dans un monde meilleur ». Cette conclusion résume la promesse mensongère inhérente à l’ensemble de la publicité — la promesse d’une vie meilleure — dans un monde où la recherche du bonheur a fusionné avec l’image publicitaire.99 francs (parfois typographié 99 F) est un roman à succès provocateur d’inspiration autobiographique de Frédéric Beigbeder, publié en 2000, qui dénonce les dérapages cyniques du monde de la publicité dans la société occidentale de consommation. Il a valu notamment à son auteur d’être renvoyé de son entreprise (Young & Rubicam), pour faute grave. Le roman a également été réédité avec les sous-titres 14,99 euro (ou 14,99 €) ou 5,90 euros (ou 5,90 €). Ce roman a été découpé en six chapitres dont chaque partie est nommée par un pronom personnel, en lien avec Octave, le protagoniste. Ainsi, dans le chapitre premier, « Je », l’auteur s’exprime à la première personne. Dans le chapitre « Tu », il s’exprime à la deuxième personne, comme une vue de l’extérieur de sa propre vie, et ainsi de suite jusqu’au pronom personnel « Ils ». Ce livre se termine par une pléiade de slogans publicitaires, ceux-ci se finissant par le cynique « Bienvenue dans un monde meilleur ». Cette conclusion résume la promesse mensongère inhérente à l’ensemble de la publicité — la promesse d’une vie meilleure — dans un monde où la recherche du bonheur a fusionné avec l’image publicitaire.