
Opus 1 et 2. Dieu, Shakespeare et moi – Pour en finir une bonne fois pour toute avec la culture.
Auteur(s) : Woody Allen
Traduction et préface de Michel Lebrun.
Editeur : France Loisirs
Parution : 01/01/1980
Nombre de pages : 458
Recueil de textes humoristiques d’un auteur déjà célèbre par ses réalisations cinématographiques.
Résumé
Du côté positif, mourir est une des rares choses que l’on puisse faire aussi bien couché que debout.
(Dieu, Shakespeare… et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.13)
L’argent est préférable à la pauvreté, ne serait-ce que pour des raisons financières.
(Dieu, Shakespeare… et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.14)
Être aimé est très différent d’être admiré, car l’on peut être admiré de loin, alors que pour aimer réellement quelqu’un, il est essentiel de se trouver dans la même chambre, et si possible sous le même drap.
(Dieu, Shakespeare… et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.14)
Pensée : Pourquoi l’homme tue-t-il ? Il tue pour sa nourriture. Et point uniquement pour cela : il faut boire aussi.
(Dieu, Shakespeare… et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.18)
J’ai décidé de rompre mes fiançailles avec M… […] Nous nous sommes disputés, et elle a remis sur le tapis la question des enfants, mais j’ai réussi à la convaincre qu’ils seraient trop jeunes lorsque nous en aurions.
(Dieu, Shakespeare… et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.21)
Si seulement Dieu voulait m’adresser un signe de son existence… S’il me déposait un bon paquet de fric dans une banque suisse, par exemple !
(Dieu, Shakespeare… et moi, in Opus 1 et 2, Éd. Solar, trad. Michel Lebrun, p.21)…
Etc…
